En savoir plus à propos de https://www.agricolors.fr/agri-news/36-la-marque-kuhn-sur-agricolors
l prévient mais aide aussi les malades déjà atteints. Ce sont les conclusions des médecins qui pratiquent l’hortithérapie. Inventé au 18ème s. par le psychiatre américain Benjamin Rush, cette thérapie par le jardinage accompagne les patients atteints d’autismes, de migraines mais aussi d’Alzheimer. Le jardinage maintient l’éveil intellectuellement. Il nécessite de savoir se repérer dans le temps et dans la taille, de savoir mémoriser le vrai nom des fleurs et de s’équiper de patience : ces critères stimulent parfaitement le cerveau. Le printemps est bel et bien là. Les fleurs sont en éclosion, les températures sont plus douces et les moments davantage ensoleillées… L’arrivée des beaux jours est l’occasion d’apprécier les rayons du soleil, et il n’y a pas de meilleure activité que le jardinage pour cela ! Ce ne sont pas les quinquas qui diront le contraire puisque les bénéfices physiques et sociologiques de cette activité ne sont plus à démontrer. D’après des chercheurs américains, le jardinage constituerait une véritable cure de jouvence et un atout santé pour les de 50 ans. Selon eux, le fait de admirer un lieu riche en plantations permettrait aux personnes âgées de demeurer en forme et d’informer certaines pathologies liées au vieillissement. de plus, si vous cultivez un potager avec des fruits et légumes, le jardinage vous permettra de profiter de produits frais de qualité, donc de entretenir une alimentation saine.
Sais-tu que le jardinage a des avantages surprenants, particulièrement sur la santé ? En plus de nous faire prendre de l’air, mettre les mains dans la terre procure une montée de sérotonine, un antidépresseur naturel produit par nos neurones. Et si jardiner est bon pour le moral, il est autant bénéfique pour le climat ! On t’explique pourquoi et on t’indique quelques réflexes à prendre maintenant pour te faire du bien à toi… ainsi qu’à la planète ! Un potager écologique, ce n’est pas qu’une idée de légumes ! Tu peux y semer aussi des fleurs indigènes, comme l’asclépiade ou l’amélanchier, qui contribuent à préserver la biodiversité tout en augmentant la résilience des écosystèmes. Certaines fleurs ne peuvent se reproduire sans l’intervention d’un pollinisateur ( animaux, chauves-souris ou oiseaux ), elles ont donc besoin d’un milieu de vie qui leur est favorable. Autrement dit, planter un peu de tout aide ton jardin à faire face aux changements climatiques avec panache ! Étiez-vous le type d’enfant à refiler vos petits pois à votre chien sous la table ? À simuler un mal de ventre chaque fois qu’on vous servait des choux de Bruxelles ? À acheter une salade avec extra vinaigrette et sans laitue ? Si le simple fait de vieillir n’a pas changé vos sentiments face aux légumes, les faire pousser vous-même pourrait vous y amener. Une revue d’études publiée en 2017 dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics a révélé que les petits qui avaient été initiés au jardinage mangeaient plus de fruits et de légumes.
Selon une étude publiée par l’Université d’Oxford, le jardinage emplifierait la confiance en soi et l’amour-propre. En comparant pendant une semaine un groupe de jardiniers à un groupe de non-jardiniers, l’étude a révélé que les amateurs de jardin avaient une estime d’eux-même nettement meilleure que ceux n’ayant pas la main verte. Selon les chercheurs, “le jardinage peut jouer un rôle clé dans le développement du confort et de la confiance en soi”. Jardiner donne de l’énergie, de la vitalité et contribue au bonheur. L’Université de Bristol a révélé que les présentes dans la terre ont un taux élevé de sérotonine, neurotransmetteur qui bataille contre l’anxiété et la dépression. Il serait en effet plus présent que dans les anti-dépresseurs. La terre de votre potager aide alors à renforcer le bonheur que l’on sent de jardiner. la diminution des dépenses liés à l’alimentation est une raison évidente de jardiner. À une époque où les maladies d’origine alimentaire sont nombreuses et où les organismes génétiquement modifiés et les pesticides abondent, il est réconfortant de savoir exactement comment nos produits furent produits. Vous contrôlez ce qui se retrouve dans votre sol et pouvez choisir de l’amender, par exemple, avec du compost .
si vous êtes adepte du jardinage, vous l’aurez certainement remarqué, dans un jardin, on se sent vite bien, apaisé. Et avec une bêche à la main, on oublie les soucis du quotidien pour se focaliser sur son métier. Une étude britanique menée auprès d’une population en excellente forme, jardinant dans les espaces vert partagés pour le plaisir a d’ailleurs montré qu’une simple session de jardin permet d’améliorer l’estime de soi, l’humeur, l’anxiété et l’anxiété. Il conclut même que les organismes de santé publique devraient encourager les britanniques à jardiner. Il suggère de fournir à chaque occupant une parcelle sur laquelle il peut avoir une mode constante de jardin en prévention de maladie. lorsque l’on jardine dans un jardin partagé, on appartient à un groupe. On discute avec ses co-jardiniers ou avec les gens qui passent rue et posent des questions. On s’entraide, on échange des conseils. « Rendre son environnement plus beau offre le sentiment d’avoir une utilité sociale. On s’engage dans un projet qui rend son quartier plus agréable à vivre, plus désirable, qui apporte à tout le monde. Psychologiquement, cela redonne de la confiance en soi«, dévoile Isabelle Boucq présidente de la Fédération française espaces vert nature et santé et auteure d’un site institutionnel le bonheur est dans le jardin.
Si tout cela vous paraît un peu trop long ou compliqué à mettre en place, il est envisageable de réaliser un potager surélevé ( en carré ou sur buttes ). En apportant alors un mixe de terre adaptée, vous vous affranchissez des contraintes de la nature de votre sol. Pour les régions ventées, un mur de la maison ou une haie sont idéals pour préserver vos légumes ; à défaut, planifiez d’installer en bordure du potager des groseilliers, des framboisiers, ou bien encore du romarin ou autre laurier-sauce qui feront un rempart gourmand fort appréciable. Il est toutefois bonne de ne pas oublier que, quelles que soient les infos que l’on met en place pour remédier aux « imperfections » de la nature, il est toujours un plus d’essayer de s’adapter à son milieu ; un sol argileux conviendra plutôt aux betteraves, aux épinards, aux fèves ou aux poirées tandis qu’une terre à tendance sablonneuse verra s’épanouir asperges, pastèques, pommes de terre et autres scorsonères. Et si le persil ne suis pas d’accord les sols trop acides, l’oseille se détourne de ceux qui sont trop calcaires. ainsi, si le soleil n’illumine qu’avec parcimonie votre potager, optez pour les laitues, les épinards, les cèleris, ou tout autre légume se plaisant à l’ombre ou à la mi-ombre. Faire son potager c’est accepter d’y consacrer un peu ( voire même plus ! ) de son temps. Pour ne pas le perdre et se retrouver submergé par une tâche qui vous dépasse, il convient de bien dimensionner son projet avant de le débuter.
Avant de défricher la cour entière, il faut se mettre en tête à la superficie qu’on souhaite cultiver : est-ce seulement pour avoir des légumes frais ? Prévoit-on plutôt faire des conserves, des marinades ou congeler certains légumes ? notez qu’habituellement, une superficie de 4 à 6 m carrés est suffisante pour une famille de quatre personnes. Il sera alors possible d’y loger 2 ou 3 plants de tomates, 1 ou 2 talles de concombres, quelques plants de poivrons ou de piments et quelques rangs de haricots, de betteraves, de salades, de radis, de carottes et d’autres petits légumes. on peut choisir un potager en carré, très simples à réaliser. Votre potager devra être positionné en plein soleil, dans un sol plutôt riche. Avant de préparer l’espace, il peut être sage de réaliser un audit de sol intégrale afin de connaître ses forces et ses malfaçons. Celle-ci devrait être faite tous les 2 ou 3 ans pour obtenir des résultats optimaux. Rendez-vous en jardinerie avec votre échantillon. Elles offrent ce service ! il convient de aussi dépenser une couche de 30 cm de terre meuble pour que les racines des plants puissent se accroitre facilement. Avant de commencer, les plants seront disposés à l’endroit qui leur est destiné. Pour faciliter l’entretien et la récolte, les mètres de plantation doivent être respectées alors il est important de s’assurer que notre plan de travail a été bien songé. dès lors que que tout est placé, il n’y a plus qu’à planter et planter tous nos plants !
Complément d’information à propos de https://www.agricolors.fr/agri-news/36-la-marque-kuhn-sur-agricolors