Ma source à propos de Accélération pour Auteurs & écrivains : PodToDigital (Jonathan Lamarquise)
tout d’abord, l’écriture web n’est pas qu’une pratique rédactionnelle. Écrire pour le média web, c’est en priorité chercher à améliorer les retours sur investissement des moyens éditoriaux : retour sur attention, sur effort et sur contenu. Plus pour être précis , on n’écrit pas pour le réseau internet, mais pour des lecteurs fan, des utilisateurs avertis, des clients et acquéreurs pointus. Le rôle de l’écriture internet est donc de réagir efficacement aux attentes avec une stratégie de contenu. Il s’agit de songer et produire des contenus service, à haut possible : attrayants, indispensables, meilleurs, pérennes.C’est un site qui va répondre aux buts de sa produit : être lu, attirer l’attention, provoquer, faire visage, renseigner, provoquer une envie peut-être une détaillant, attirer le lecteur vers autre chose… une autre page. C’est un article écrit dans une forme d’art adéquat et propice : vocabulaire généreux et varié tout en proposant une visite aisée et convivial. Le ton est convaincant, les références sont indiscutables et citées ( avec peut être des liens externes qui pointent vers elles ). C’est aussi un texte aux formes journalistiques dans sa structure : L’essentiel du message est dépouillé en tout début de post, c’est le chapô. Viennent les paragraphes aux titres accrocheurs, l’argumentaire, le extension et enfin une conclusion ouverte sur des promesses, sur une multitude. La page est techniquement optimisée positionnement sur google : URL sculptée, titre H1 attaqué, les méta-balises calculées, les images taguées Alt, les ancres des liens de retour internes et externes posées sur des expressions phares. Tous ces éléments sont précieusement travaillés près du mot clef, lui-même stratégiquement tri pour sa faisabilité… Et, cerise sur le gâteau, si la page finale est sympatique à l’œil, soit : présentation aérée, paragraphes bien distincts, virgule rigoureuse, espaces en place et irréproachable d’orthographe, vous ne pouvez que captiver votre lecteur.Faites des citations courtes. ‘ Plus de 2 lignes pour une même expression, cela est trop ! ‘, martèle Corinne Durand Degranges. L’idéal est d’alterner séquences longues et courtes. Pour convenir votre arguments, faites des phrases non verbales. Évitez le bla-bla… ‘ Il n’existe rien de pire qu’un candide qui n’a rien à dire et qui le cache derrière des thèmes creux ‘, s’agace l’enseignante. Adoptez un langague véritable mais sûr. N’employez pas de termes dont vous ne maîtrisez pas le sens, au risque de confusions. Quant aux répétitions, évitez-les en utilisant des mots de même sens. Attention à ce titre à la microbe, elle varie le sens d’une phrase. Rappelez-vous enfin que ‘ le style produit est plus remarqué que le style oral ‘, insiste Corinne Durand Degranges. Françoise Bedoucha accompagne, elle, à ses élèves de travailler en plusieurs étapes : il faut d’abord s’occuper du matière et, ensuite, travailler la forme.Comme la agrégat inversée, la ordre des 5W en penne web donne l’opportunité de respecter le polyèdre logique par lequel l’esprit humain perçoit l’information. Comprenez, en anglais : Who ( Qui ), What ( Quoi ), even though ( lorsqu ), Where ( Où ), Why ( pour cette cause ). Soit 5 questions en 5W pour réagir au bas mot et le plus vite possible aux recours au lecteur. On peut aussi fourrer le Comment à ces règles de questionnement, et chuter les sigles en français ( QQQOPC ). En tant qu’approche modulaire, la technique des 5W offre l’opportunité d’organiser et de prioriser les messages, tout en ne transmettant pas la chaleur des unités de textes qui ont pour obligation de faire l’objet d’un protocole de traitement rubrique méticuleux. On s’assure ainsi de faire le tour de la personne, dans le bon norme, et en regardant le dessin le plus court.Voilà encore l’une des traditions d’or éditoriale web : on place le contenu conséquent ( les expressions phares ) dans un premier temps : dans les titres, au début des objets, dans le chapeau… Au départ de votre paragraphe ou de votre contenu, résumez les données clés. Cela offre l’opportunité à l’internaute de détecter aussitôt l’information qu’il cherche, et c’est le referencement ainsi aussi associer l’utile à l’agréable ! N’oubliez pas que vous écrivez pour vos lecteurs et qu’il faut simplifier leur navigation. De plus, ces actions de rédaction pour le web amélioreront votre référencement référencement naturel sur les outils de recherche. C’est une gymnastique de l’esprit et il faut s’entrainer et monter pour libeller en « pensant » positionnement sur google, ensuite ceci devient une habitude et on l’oublie cette contrainte pour laisser place au style de publication.Il y a quelqu’un à faire et à éviter en matière de le post pour l’internet. dans le cas où vous respectez ces règles et que vous maîtrisez la rédaction en travaillant d’un coup d’oeil lexical et sémantique de vos mots-clés, vous aurez quelques longueurs d’avance. La fin est de faire venir les internautes sur votre blog ou site dans l’idée qu’ils prennent connaissance de vos textes et de votre offre produits/services. Pour y arriver vous avez à avoir du contenu dans les 10er résultats de Google et si l’occasion se présente dans le top 3 beaucoup de résultats liés à une requête net. Le volume de demande sur une recherche ou un mot-clé sera à analyser en amont. essayer pour aboutir que le referencement est une technique inexacte… personne ne peut vous témoigner la première place ni la page 1. Faites simplement ce qu’il faut et apprenez à travailler vos supports textuels, à les moderniser, les densifier s’il faut etc… pour terminer savez les primordiaux du referencement pour bosser la constitution de textes de façon adéquat et propice.
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